"She take's just like a woman"
c'est en écoutant Dylan
c'est en oubliant le temps
passer à travers moi
"just like a woman"
juste tout en douceur
la vie faite couleurs
si "I want you" c'est que je t'aime
"so babe"
c'est que je t'aime, ainsi
mon équilibre ma peine à peine
des temps qui changent
saisons et paysages qui donnent envie
de s'enfuir malgrés tout
jeudi 15 mars 2012
jeudi 23 février 2012
Menu cul
Au cul au cul
la main qui s'est perdue
sous le satin les dentelles
et du regard une envie d'elle
du cul du cul
et sur le pouce et à la louche
c'est exercice métier de bouche
c'est tout expliqué au menu
la main qui s'est perdue
sous le satin les dentelles
et du regard une envie d'elle
du cul du cul
et sur le pouce et à la louche
c'est exercice métier de bouche
c'est tout expliqué au menu
mardi 7 février 2012
Mort de froid
Et il s'est endormi
et au dehors le vent
une page aprés l'autre, ce livre ouvert
englouti par le froid la peur,
il se passe des choses, derrière la porte
il se passe toujours des choses.
Et il rêve de ça
et du vent et du froid
le livre à du tomber les pages sont froissées
cette histoire finira bien
ou le délire l'emportera, je compte jusqu'à trois
un... deux...nous sommes à deux c'est déjà beau
moins deux, moins trois jusqu'a bien moins
c'est un hivers en moins et il rêve de ça.
Paradoxal sommeil, le réveil peut attendre
c'est le froid qui le gagne f..a...c...i......i......i...l....e
et au dehors le vent
une page aprés l'autre, ce livre ouvert
englouti par le froid la peur,
il se passe des choses, derrière la porte
il se passe toujours des choses.
Et il rêve de ça
et du vent et du froid
le livre à du tomber les pages sont froissées
cette histoire finira bien
ou le délire l'emportera, je compte jusqu'à trois
un... deux...nous sommes à deux c'est déjà beau
moins deux, moins trois jusqu'a bien moins
c'est un hivers en moins et il rêve de ça.
Paradoxal sommeil, le réveil peut attendre
c'est le froid qui le gagne f..a...c...i......i......i...l....e
jeudi 22 décembre 2011
Du bout des lèvres

Mon coeur n'a plus de retenue
il n'écoute plus les consignes
amoureuse je suis à nue
je ne contrarie pas son règne.
Un goût, des goûts plaisirs sensibles
tout à l'envie, source d'épuisement
mon désir à son cou ruisselle
quand de ses doigts le son s'étend.
De mes lèvres à sa peau
attirée par son jeu jazzy et beau
il est temps de souffler le feu
le reste se conjugue à deux
Musique a propagé l'extase
je ne suis plus que fleur offerte
musicien joue de mes pétales
son charme a déclenché l'alerte.
Je dis je fais, je le regarde je m'approche
je touche et si ma main remonte
à froisser ses cheveux défaits
perdue raison qu'il me restait
De mes lèvres à ses lèvres
cesse son jeu jazzy et beau
il est temps de soigner la fièvre
quand il ne reste qu'un écho
Partition jouée du désir
duo sur le chant s'est formé
dans les draps soyeux du plaisir
le sommeil nous a enroulés.
Un rêve a prolongé l'étreinte
le silence en bout de portée
de l'amour il reste l'empreinte
la dernière note jouée.
De mes lèvres à sa peau
apaisée par son jeu jazzy et beau
il est temps de souffler le feu
le reste se conjugue à deux
il n'écoute plus les consignes
amoureuse je suis à nue
je ne contrarie pas son règne.
Un goût, des goûts plaisirs sensibles
tout à l'envie, source d'épuisement
mon désir à son cou ruisselle
quand de ses doigts le son s'étend.
De mes lèvres à sa peau
attirée par son jeu jazzy et beau
il est temps de souffler le feu
le reste se conjugue à deux
Musique a propagé l'extase
je ne suis plus que fleur offerte
musicien joue de mes pétales
son charme a déclenché l'alerte.
Je dis je fais, je le regarde je m'approche
je touche et si ma main remonte
à froisser ses cheveux défaits
perdue raison qu'il me restait
De mes lèvres à ses lèvres
cesse son jeu jazzy et beau
il est temps de soigner la fièvre
quand il ne reste qu'un écho
Partition jouée du désir
duo sur le chant s'est formé
dans les draps soyeux du plaisir
le sommeil nous a enroulés.
Un rêve a prolongé l'étreinte
le silence en bout de portée
de l'amour il reste l'empreinte
la dernière note jouée.
De mes lèvres à sa peau
apaisée par son jeu jazzy et beau
il est temps de souffler le feu
le reste se conjugue à deux
vendredi 16 décembre 2011
Paradis mon oeil

Au paradis je dis oui
aux nuages aux mirages
quand escaliers sans palliers nous tourne
fous à lier et à y croire
cerveaux classés dans un tiroir
faut voir
âme classieuse
à manipuler aux pincettes
dans un bocal à faire trempette.
Paradis je dis non
saute à pieds joints
bouche béante, aven
et je m'obstine
à ignorer corde lancée
qui me sauvera, me pendra
plongeon si s'éternise
mon paradis sera ainsi
fatal mais décoiffant.
aux nuages aux mirages
quand escaliers sans palliers nous tourne
fous à lier et à y croire
cerveaux classés dans un tiroir
faut voir
âme classieuse
à manipuler aux pincettes
dans un bocal à faire trempette.
Paradis je dis non
saute à pieds joints
bouche béante, aven
et je m'obstine
à ignorer corde lancée
qui me sauvera, me pendra
plongeon si s'éternise
mon paradis sera ainsi
fatal mais décoiffant.
Au paradis j'ai peur
quand tout suffit basta
croiser les bourreaux et les rois
anarchiste fera sauter
...son coeur
jeudi 15 décembre 2011
Vides

Ainsi nous voilà vides
et de chair et de sens
ramasse à la pelle
nos restes.
Vides
rien dans les mains
coup de reins sans effets
cerveau libre et dispo
et de chair et de sens
ramasse à la pelle
nos restes.
Vides
rien dans les mains
coup de reins sans effets
cerveau libre et dispo
coquilles et bourses
poches et frigo
nous voilà vilains vides
condamnés à choisir
ou la chèvre ou l'agneau
le chien, le moins que rien
la tâche sur la tâche
et ridicules et lâches
de l'air en l'air
un pet un rot
Ils nous voient et nous laissent... Vides
Le serions nous ?
poches et frigo
nous voilà vilains vides
condamnés à choisir
ou la chèvre ou l'agneau
le chien, le moins que rien
la tâche sur la tâche
et ridicules et lâches
de l'air en l'air
un pet un rot
Ils nous voient et nous laissent... Vides
Le serions nous ?
vendredi 9 décembre 2011
Prend moi
Prend moi j'ai l'inconscience
use et abuse et casse
à tout moment dans ce corps rance
qui se meut sans espace
étouffe, j'étouffe.
Prend moi j'ai l'ossature
frappe et déchire et nie
cette enveloppe couverture
que s'écoule enfin lave et lie
obstiné, je m'obstine.
Prend moi j'ai la vie dure
façonne érige et scelle
réutilise ma mouture
que serve au moins de balancelle
mon échaffaudage squelette.
mercredi 7 décembre 2011
Austérité

L'été ne dure pas rien ne dure
carcasses éparses jonchent notre avenir
aujourd'hui tout là bas et demain
et les armes à fourbir enfin
jette toi dans le feu car c'est ainsi
que nous redresserons la tête
Je sens les mots déjà frissonnent
j'entend des hurlements les bêtes sont à bout
je suis un loup, vivement le carnage
la rue et je suis nu
on ne me prendra rien et je vais me servir
à la gorge des maîtres
carcasses éparses jonchent notre avenir
aujourd'hui tout là bas et demain
et les armes à fourbir enfin
jette toi dans le feu car c'est ainsi
que nous redresserons la tête
Je sens les mots déjà frissonnent
j'entend des hurlements les bêtes sont à bout
je suis un loup, vivement le carnage
la rue et je suis nu
on ne me prendra rien et je vais me servir
à la gorge des maîtres
vendredi 21 octobre 2011
Je, tu, nous...
Je tuer moi
tu vouer moi
nous jouons ou, à quoi ?
A voir ou à revoir
à tout défaire
ou hisser sur un site
ardeur à déclamer conquête
et mon drapeau moulé
sur grain de chaux, ta peau, à toi
enroulée sur tout moi
émois émois reste un peu là
ruisseau ose couler rimel et larmes
sécressions sous passions
je tu et nous
noyade c'est au mieux
le reste ... c'est comme on veut.
tu vouer moi
nous jouons ou, à quoi ?
A voir ou à revoir
à tout défaire
ou hisser sur un site
ardeur à déclamer conquête
et mon drapeau moulé
sur grain de chaux, ta peau, à toi
enroulée sur tout moi
émois émois reste un peu là
ruisseau ose couler rimel et larmes
sécressions sous passions
je tu et nous
noyade c'est au mieux
le reste ... c'est comme on veut.
samedi 15 octobre 2011
"Quand j'aime" et autres...
Quand j'aime
Quand j'aime je compte
les jours, les nuits,
les fois ou oui, les fois ou non,
les mots en trop les mots en manque
Quand j'aime je compte trop
l'amour ne se calcule pas.
Nos fils
A se croiser, se suivre, se doubler
s'y croire, se la jouer
nos fils entremélés nous rappelent qu'il y a
un début et une fin de part et d'autre...
d'un enchevètrement sans nom.
Tout ce qui se fait
Tout ce qui se fait se paie
rien ne se perd
j'ai même gardé la facture
si d'aventure de mon pied
je révélais ton ossature.
Alors entre tes dents...
je glisserai la note.
A padre
Quand j'aime je compte
les jours, les nuits,
les fois ou oui, les fois ou non,
les mots en trop les mots en manque
Quand j'aime je compte trop
l'amour ne se calcule pas.
Nos fils
A se croiser, se suivre, se doubler
s'y croire, se la jouer
nos fils entremélés nous rappelent qu'il y a
un début et une fin de part et d'autre...
d'un enchevètrement sans nom.
Tout ce qui se fait
Tout ce qui se fait se paie
rien ne se perd
j'ai même gardé la facture
si d'aventure de mon pied
je révélais ton ossature.
Alors entre tes dents...
je glisserai la note.
A padre
Mon île
Il est une île cernée de fonds profonds
il est une île inabordable
Le goût
Goût sur la langue sel de la peau
Goût en mémoire calé en fond d'écran
Partout ou la main passe se presseront les lèvres
Un goût des goûts, plus rien n'est dégoutant
Sitôt les yeux fermés plaisir ruisselle
Un goût des goûts tout est à l'avenant
Lentement le désir porte mon envie d'elle.
jeudi 13 octobre 2011
3ème oeil
dimanche 9 octobre 2011
Usure
Un autre jour et tout se pose
des imbrications se délitent, assemblages à d'autres doses
Silence et ombres s'associent
vitesse lente sous des ouvertures choisies
Matin, le temps est fou de continuer
juste un pas dehors et c'est fait
Usure, affaissement et polissage
tout doux, le monde au lever parait sage
jusqu'au déluge
samedi 3 septembre 2011
3 enfants et un amour
Une porte et je m'échappe
un avion et je m'envole
une flaque et je me noie
un nouveau toit mais avec toi.
La fin et je m'y voit
l'enfer et j'y vais droit
femme d'attache et pour toujours
1, 2, 3 et 4 amours
un avion et je m'envole
une flaque et je me noie
un nouveau toit mais avec toi.
La fin et je m'y voit
l'enfer et j'y vais droit
femme d'attache et pour toujours
1, 2, 3 et 4 amours
mercredi 27 juillet 2011
Coup de vent

Ecoute !... tu entend ?... C'est un silence dégueulasse !
Surement le téléphone serait perdu ou brisé
ailleurs peut être le grand amour
la lassitude, l'ennui
à l'inverse trop d'émotion
sentiments en dilution
ou bien seraient ils trop forts ?
Une route en construction
pour une autre à l'abandon
Une tornade dévaste tout
notre maison y est restée
Ecoute encore écoute...
c'est un silence ... dégueulasse
gentil garçon !

Plus je dors et moins je veille
moins je veille et plus on m'endors.
Je suis un garçon gentil
encaissant tous les coups bas
je suis un bel abruti
choubidou choubidouba
J'en suis là on me le dit
mais je répond que c'est moi
mon coeur se nourrit de plis
Choubidoubi choubida
Plus je dors et moins j'y crois
il ne faut pas s'inquiéter
je n'ai pas l'air que l'on voit
je suis ici, je vais là !
moins je veille et plus on m'endors.
Je suis un garçon gentil
encaissant tous les coups bas
je suis un bel abruti
choubidou choubidouba
J'en suis là on me le dit
mais je répond que c'est moi
mon coeur se nourrit de plis
Choubidoubi choubida
Plus je dors et moins j'y crois
il ne faut pas s'inquiéter
je n'ai pas l'air que l'on voit
je suis ici, je vais là !
mercredi 20 juillet 2011
histoire de baignoire
J'effacerai les traces
accroupi sous la douche
j'y reste trop c'est louche
mais rien n'est efficace
et puis...je n'ai plus d'eau
et... je ne frotte plus
peur d'abimer la peau
épiderme éperdu.
Tatoués ces souvenirs sont beaux
ammoncelés en masse
se recouvrent de gangue
décor à histoires d'O
Pour changer dés demain
J'irai bien prendre un bain
m'assoupir en baignoire
sarcophage d' ivoire
robinet suinte l'ambre
s'y scelleront mes membres
accroupi sous la douche
j'y reste trop c'est louche
mais rien n'est efficace
et puis...je n'ai plus d'eau
et... je ne frotte plus
peur d'abimer la peau
épiderme éperdu.
Tatoués ces souvenirs sont beaux
ammoncelés en masse
se recouvrent de gangue
décor à histoires d'O
Pour changer dés demain
J'irai bien prendre un bain
m'assoupir en baignoire
sarcophage d' ivoire
robinet suinte l'ambre
s'y scelleront mes membres
Je ne me lave plus
j'ai trop besoin d'histoire
lundi 4 juillet 2011
gazelle

Mais ou sont passées les gazelles
mineur de fond les as tu vues
elles allaient folles des rues
à la recherche de leurs ailes.
Lizzy il est un vide ce soir
le corps soupoudré de poussière
semble se lever puis... s'effondre
un soufle encore et se disperse
désespérante peine
Lizzy il est un drole d'état depuis
rendez-vous manqué de justesse
je repasserai vers chez toi
pour juste nous et un peu de repos
Mais ou sont passées les gazelles
le coeur s'est laissé piétiné
par cette étrange chevauchée
à l'odeur de désir sensuel
En souvenir de ces heures bleues
de ces femmes baisées par la mer
de cette lutte échec et mat
de ce... salaud de crabe
mineur de fond les as tu vues
elles allaient folles des rues
à la recherche de leurs ailes.
Lizzy il est un vide ce soir
le corps soupoudré de poussière
semble se lever puis... s'effondre
un soufle encore et se disperse
désespérante peine
Lizzy il est un drole d'état depuis
rendez-vous manqué de justesse
je repasserai vers chez toi
pour juste nous et un peu de repos
Mais ou sont passées les gazelles
le coeur s'est laissé piétiné
par cette étrange chevauchée
à l'odeur de désir sensuel
En souvenir de ces heures bleues
de ces femmes baisées par la mer
de cette lutte échec et mat
de ce... salaud de crabe
mercredi 15 juin 2011
Une seconde à peine!
C de mon coeur dessus dessous
tout à exploser ses répliques
C de mes pieds et mains serrés
de ma peau et mes os lassés
que doit se nourrir la machine.
Compression prête à exposer
pièce de musée ou prouesse
suite à promesse dépecée
il se repasse pour la millième
le film de l'amer en 3 D.
Obstacle qu' il voudrait toucher
avant qu'il ne s'exhibe à d'autres
une pellicule est chargée
Je crie " tournez!" et tu te tourne
"coupez!" je garde cette image
une seconde à peine.
tout à exploser ses répliques
C de mes pieds et mains serrés
de ma peau et mes os lassés
que doit se nourrir la machine.
Compression prête à exposer
pièce de musée ou prouesse
suite à promesse dépecée
il se repasse pour la millième
le film de l'amer en 3 D.
Obstacle qu' il voudrait toucher
avant qu'il ne s'exhibe à d'autres
une pellicule est chargée
Je crie " tournez!" et tu te tourne
"coupez!" je garde cette image
une seconde à peine.
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