Quand j'aime
Quand j'aime je compte
les jours, les nuits,
les fois ou oui, les fois ou non,
les mots en trop les mots en manque
Quand j'aime je compte trop
l'amour ne se calcule pas.
Nos fils
A se croiser, se suivre, se doubler
s'y croire, se la jouer
nos fils entremélés nous rappelent qu'il y a
un début et une fin de part et d'autre...
d'un enchevètrement sans nom.
Tout ce qui se fait
Tout ce qui se fait se paie
rien ne se perd
j'ai même gardé la facture
si d'aventure de mon pied
je révélais ton ossature.
Alors entre tes dents...
je glisserai la note.
A padre
Quand j'aime je compte
les jours, les nuits,
les fois ou oui, les fois ou non,
les mots en trop les mots en manque
Quand j'aime je compte trop
l'amour ne se calcule pas.
Nos fils
A se croiser, se suivre, se doubler
s'y croire, se la jouer
nos fils entremélés nous rappelent qu'il y a
un début et une fin de part et d'autre...
d'un enchevètrement sans nom.
Tout ce qui se fait
Tout ce qui se fait se paie
rien ne se perd
j'ai même gardé la facture
si d'aventure de mon pied
je révélais ton ossature.
Alors entre tes dents...
je glisserai la note.
A padre
Mon île
Il est une île cernée de fonds profonds
il est une île inabordable
Le goût
Goût sur la langue sel de la peau
Goût en mémoire calé en fond d'écran
Partout ou la main passe se presseront les lèvres
Un goût des goûts, plus rien n'est dégoutant
Sitôt les yeux fermés plaisir ruisselle
Un goût des goûts tout est à l'avenant
Lentement le désir porte mon envie d'elle.
Sur la trame de nos vies qui ne tiennent qu'à un fil, le goût des ils, le goût des elles, le goût des autres n'a pas de prix
RépondreSupprimerBonsoir chère Juillev , énormes bises
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