vendredi 30 janvier 2009

Issu de quoi ?

"Au nom du père, du fils et... de la haine"


J'ai remonté les traces, sur cette route.
Quelqu'un est passé avant moi,
quelqu'un a traversé ces bois.
A bien chercher j'ai retrouvé la flaque,
j'y ai vu mon visage se fondre dans les pas
sous la surface quelques signes et... j'imagine
moment privilégié, geste fugace
poussé un cri peut être, peut être pas
passé sa main dans les cheveux pour signifier la fin ?
debout et rhabillé, courru pour rattraper le temps perdu ?
pas une fuite, juste une envie... pressante...
de construire une vie... en décousu
une de jetée, deux de jetées les dés en sont jetés
et sur la table il ne posera rien,
car il n'a rien .







4 commentaires:

  1. Toujours cec mêmes traces, tenaces. Amitiés . S

    RépondreSupprimer
  2. Est on obligé de marcher dans les traces de ceux qui nous ont précédés ??? Je ne crois pas que cela soit une fatalité, un chemin obligé. Chacun se construit comme il peut avec ce qu'il a reçu et surtout ce qu'il a forgé de ses propres mains.
    Parfois c'est vrai il y a des similitudes, des croisements de routes où il ne faut pas se perdre, des moments où, peut être, on peut entendre, comprendre ce qui était si mystérieux chez l'autre, oublier la haine ?
    Mais tu n'es pas comme lui !!! Tu es trop riche,tout plein de trucs sur la table chez toi !!!
    Bises
    C

    RépondreSupprimer
  3. C tu es un amour et il y avait bien longtemps que tu n'avais rien noté.Bises

    RépondreSupprimer
  4. Toi seul sais pourquoi...et là j'ai contrevenu à la règle, mais bon j'ai pas pu me retenir, aucune parole cette fille !!!!
    Bises
    C

    RépondreSupprimer