Au froid ! au froid ! le froid ce soir m'effraie !
Oh flute ! j'en pleure, pleurerai
c'est une porte restée ouverte
carreau cassé d'une fenêtre
depuis ... 7 ans, 8 ans ?
pas réparée ou à claquer sans cesse
putain de temps putain de tête
depuis le temps et tout le temps
mercredi 30 novembre 2016
mercredi 29 juillet 2015
Sortie de doute
Ok Ok c'est vrai je doute
mais de ça je suis sûr
contournes tous les murs
et apparait la route.
Je viens vers loin
mais de ça je suis sûr
contournes tous les murs
et apparait la route.
Je viens vers loin
mercredi 7 janvier 2015
J'en suis
J'ai un crayon, j'ai une gomme et une feuille
j'ai un dessin en tête, un truc à dire au trait
j'ai sur la langue un gout et un dégout
j'ai des fourmis au bout des doigts
mais... j'ai le temps, je suis vivant et libre
je veux peser et mesurer ma réaction
déjà des nostalgies s'expriment
déjà la connerie se met en branle
j'ai un dessin en tête, un truc à dire au trait
j'ai sur la langue un gout et un dégout
j'ai des fourmis au bout des doigts
mais... j'ai le temps, je suis vivant et libre
je veux peser et mesurer ma réaction
déjà des nostalgies s'expriment
déjà la connerie se met en branle
jeudi 27 novembre 2014
Qu'on sorte !!!
Aprés la porte une autre porte
un angle et c'est la fuite
géométrie tout nous mesure adieu la démesure,
il faut sortir, je voudrai bien sortir.
Reflet ne me ressemble pas
je serai autre autrement
un angle et c'est la fuite
géométrie tout nous mesure adieu la démesure,
il faut sortir, je voudrai bien sortir.
Reflet ne me ressemble pas
je serai autre autrement
dimanche 16 novembre 2014
Cuisine sanglante
Danse du ventre
déroule ce corps farine
marque les ingrédients agglutinés
masque au brouillard ces figures grimées.
Une sortie presque un couloir
envisagée de voile
au vent désespérantes étoiles
brûlées au bûcher du grand soir.
Toutes étoffes essaimées
la cuisine est sanglante
cinq minutes à aimer
l'éternité une épouvante.
déroule ce corps farine
marque les ingrédients agglutinés
masque au brouillard ces figures grimées.
Une sortie presque un couloir
envisagée de voile
au vent désespérantes étoiles
brûlées au bûcher du grand soir.
Toutes étoffes essaimées
la cuisine est sanglante
cinq minutes à aimer
l'éternité une épouvante.
dimanche 9 novembre 2014
Homo résignus
Petits pas sages
petits, à pas de loups
absence de tout, de rage
pas fou, tout mou et flou.
Petit pas suffit pas
gare au recul, reculera
séjour cuisine aller-retour
glissade etcétéra blessé tous membres gourds.
Petits coups sur coeur doux
accros sur peau satine
suture à points de croix machine
plus beau et déjà à genoux
plus grâve et presque fou
plus sombre mais à nouveau debout
Perdu d'ennui, retrouvé par l'envie. voir là bas s'il y est
l'y sera
petits, à pas de loups
absence de tout, de rage
pas fou, tout mou et flou.
Petit pas suffit pas
gare au recul, reculera
séjour cuisine aller-retour
glissade etcétéra blessé tous membres gourds.
Petits coups sur coeur doux
accros sur peau satine
suture à points de croix machine
plus beau et déjà à genoux
plus grâve et presque fou
plus sombre mais à nouveau debout
Perdu d'ennui, retrouvé par l'envie. voir là bas s'il y est
l'y sera
vendredi 3 octobre 2014
Samouraï
Cloportes méprisables
vivants et morts
jaillis des trous, du sable
appendices bougent'encor.
Je partirai
un jeudi j'aime bien ce jour
une flaque et je sauterai
adieu les vertiges et l'amour.
Buprestes détestables
forficules dytiques
un saut n'y suffit pas
tais toi mais, tout en bas.
Pense à ta brune
rewind à fond retour perdant
elle, perplexe y plantera les dents
croquer ta tête de prune.
Samouraï le geste ajusté
au fil s'y passera le cœur, avant.
vivants et morts
jaillis des trous, du sable
appendices bougent'encor.
Je partirai
un jeudi j'aime bien ce jour
une flaque et je sauterai
adieu les vertiges et l'amour.
Buprestes détestables
forficules dytiques
un saut n'y suffit pas
tais toi mais, tout en bas.
Pense à ta brune
rewind à fond retour perdant
elle, perplexe y plantera les dents
croquer ta tête de prune.
Samouraï le geste ajusté
au fil s'y passera le cœur, avant.
mardi 27 mai 2014
Hostile
Comme il regrette
le jour, la mer, le sable
bonheur hasard et flou, distance
plaines et collines, forêts.
Comme il languis
pertes et fracas grilles assiégées et tables rases
lumières éteintes, le noir et feu, portes arrachées
batailles rangées dans lits défaits
orages et tremblements
comptes à régler sorties de routes
poussées de fièvres, sueurs
tous les drapeaux en berne
citadelles assiégées exangues
déroutes et embuscades
déflagrations tortures
fils enmélés blessures et abandon.
Pour une fois encore la défaite est cuisante
l'une et puis l'autre font le moule
couture aprés couture
pour une peau papier de verre
à la caresse bien difficile
hostile
le jour, la mer, le sable
bonheur hasard et flou, distance
plaines et collines, forêts.
Comme il languis
pertes et fracas grilles assiégées et tables rases
lumières éteintes, le noir et feu, portes arrachées
batailles rangées dans lits défaits
orages et tremblements
comptes à régler sorties de routes
poussées de fièvres, sueurs
tous les drapeaux en berne
citadelles assiégées exangues
déroutes et embuscades
déflagrations tortures
fils enmélés blessures et abandon.
Pour une fois encore la défaite est cuisante
l'une et puis l'autre font le moule
couture aprés couture
pour une peau papier de verre
à la caresse bien difficile
hostile
lundi 5 mai 2014
Décor des corps
Le corps se donne et obtient tout
le corps souffle et s'essouffle
coule et jouit, le corps profite
régurgite, le corps appelle à l'aide
pleure, le corps s'enterre attend la suite
un autre tour, soleil et lutte
le corps s'entasse et disparait
se terre, le corps est terre
s'étiole et suinte, pourriture
le corps s'endors et sent l'amour
tes os les miens encore et encore et encore.
Renait, le corps en veut encore
boutoir, rentre dedans plus fort
malaxe, et un autre et nouveau
mélange jaillira, du travail pour la vie
de l'espoir pour la mort
du terreau pour la suite, vite vite la suite
le corps souffle et s'essouffle
coule et jouit, le corps profite
régurgite, le corps appelle à l'aide
pleure, le corps s'enterre attend la suite
un autre tour, soleil et lutte
le corps s'entasse et disparait
se terre, le corps est terre
s'étiole et suinte, pourriture
le corps s'endors et sent l'amour
tes os les miens encore et encore et encore.
Renait, le corps en veut encore
boutoir, rentre dedans plus fort
malaxe, et un autre et nouveau
mélange jaillira, du travail pour la vie
de l'espoir pour la mort
du terreau pour la suite, vite vite la suite
vendredi 4 avril 2014
Don de toi
On cherche des mots voici les mots
te les dire et voici le pire
des maux démons à incruster la peau émaux
bijoux cassette sarcophage de ton vampire
clampé à pas de chance ta veine
broche griffée mon cadeau vaut la peine
car sang s'écoule à remplir écuelle
voici pour boire à ta santé ma reine
à consumer cette potion sensuelle
ta vie
te les dire et voici le pire
des maux démons à incruster la peau émaux
bijoux cassette sarcophage de ton vampire
clampé à pas de chance ta veine
broche griffée mon cadeau vaut la peine
car sang s'écoule à remplir écuelle
voici pour boire à ta santé ma reine
à consumer cette potion sensuelle
ta vie
samedi 22 mars 2014
Pénélope
Lizzy mon dieu Lizzy
de ce chemin au loin Lizzy
Reviens
Accroche toi au fil
tes mots liés forment la trame
tes pinceaux font le balisage
Wakwazulukwezizulu tu dis et je te crois
à prendre ou à laisser, métis, j'adore
Alors !?
Lizzy le lion ne chasse plus
les gazelles s'ennuient
le silence s'est fait, tout brûle, mais elles !...
baisées par le soleil l'une à l'endroit l'autre à l'envers
pervers !...
Lizzy peut être alors la nuit, ma confidente
Vroom, c'est la voie lactée ou tu scintille
ton heure c'est l'heure bleue ça y est je sais
dans le noir point de gueule d'amour
nous serions tous pareils
ma pénelope
de ce chemin au loin Lizzy
Reviens
Accroche toi au fil
tes mots liés forment la trame
tes pinceaux font le balisage
Wakwazulukwezizulu tu dis et je te crois
à prendre ou à laisser, métis, j'adore
Alors !?
Lizzy le lion ne chasse plus
les gazelles s'ennuient
le silence s'est fait, tout brûle, mais elles !...
baisées par le soleil l'une à l'endroit l'autre à l'envers
pervers !...
Lizzy peut être alors la nuit, ma confidente
Vroom, c'est la voie lactée ou tu scintille
ton heure c'est l'heure bleue ça y est je sais
dans le noir point de gueule d'amour
nous serions tous pareils
ma pénelope
jeudi 6 février 2014
Trou du cul
Je manifeste pour tous, pour rien
Je marche vers nulle part, histoire de.
Pour fustiger l'amour, yes !
pour briser la passion, aussi !
de nos enfants, de mes enfants.
Je trotte pour et par la croix, bien sous son ombre
Je suis conserves et dépendances
petits bisous trou dans le drap
J'me manifeste pour tous, pour rien
Je suis des milliers à pleurer, acteur
à enc...r les mouches
A défendre mon trou du cul
car je ne suis que ça
Je marche vers nulle part, histoire de.
Pour fustiger l'amour, yes !
pour briser la passion, aussi !
de nos enfants, de mes enfants.
Je trotte pour et par la croix, bien sous son ombre
Je suis conserves et dépendances
petits bisous trou dans le drap
J'me manifeste pour tous, pour rien
Je suis des milliers à pleurer, acteur
à enc...r les mouches
A défendre mon trou du cul
car je ne suis que ça
lundi 2 décembre 2013
Saline
Dans une larme trace de nous
Oh c'est de l'eau !
A l'abandon saline
Et la récolte pour ces 1000 ans
Mon sel à disperser
Juste à suffit le souffle
Et un et deux et envolés les grains
Sus à la plaie
Qui fait pleurer
Dans une larme instant de nous
Tout goutte tout goutte et s'évapore
Buée
Oh c'est de l'eau !
A l'abandon saline
Et la récolte pour ces 1000 ans
Mon sel à disperser
Juste à suffit le souffle
Et un et deux et envolés les grains
Sus à la plaie
Qui fait pleurer
Dans une larme instant de nous
Tout goutte tout goutte et s'évapore
Buée
mardi 1 octobre 2013
Pure origine
J'écris mon bavardage mes cris
j'appuie sur mes blessures je cure
tout en silence tout en silence
j'y épuise mes ongles je crisse
rayées mes origines en berne
gratté ce vernis dégueulasse
tout nu regardes moi !
Je suis un Rom, un arabe ou un noir
je suis l'excuse et l'alibi
pour tes discours salaces tes arguments fumeux
pour cacher ta misère intellectuelle
pour protéger tes placements
pour justifier ton vote extrême
adieux la honte te voici Pyrrhocore aptère
et bientôt toutes portes ouvertes
rien que pour toi, tu sera beau en uniforme
le signe de ton bras pour les saigneurs
puis ton action milice à débusquer les baraques à misère
tout équipé homme matraque , justicier
tes petits mails d'indications gratuits et anonymes
rassuré de tes ennemis parqués
la solution létale ressuscitée, pour toi
et la médaille, la croix
grand ordre des chasseurs de roms
"Je me demande de qui notre bébé sera l'étranger ? "
j'appuie sur mes blessures je cure
tout en silence tout en silence
j'y épuise mes ongles je crisse
rayées mes origines en berne
gratté ce vernis dégueulasse
tout nu regardes moi !
Je suis un Rom, un arabe ou un noir
je suis l'excuse et l'alibi
pour tes discours salaces tes arguments fumeux
pour cacher ta misère intellectuelle
pour protéger tes placements
pour justifier ton vote extrême
adieux la honte te voici Pyrrhocore aptère
et bientôt toutes portes ouvertes
rien que pour toi, tu sera beau en uniforme
le signe de ton bras pour les saigneurs
puis ton action milice à débusquer les baraques à misère
tout équipé homme matraque , justicier
tes petits mails d'indications gratuits et anonymes
rassuré de tes ennemis parqués
la solution létale ressuscitée, pour toi
et la médaille, la croix
grand ordre des chasseurs de roms
"Je me demande de qui notre bébé sera l'étranger ? "
dimanche 25 août 2013
vendredi 9 août 2013
Et voilà pour quelques jours la pause , je m'évapore sous le soleil ,dans l'eau, d'une plage à l'autre, dans le maquis, sans téléphone et sans ordi... 15 jours quoi !!! Et en Corse tiens...
Je vous note mes coordonnées si vous voulez m'écrire :
Toutaubord
Quelque part, vers la-bas, plutôt sur le sud, celui avec le livre.
un homme qui semble heureux.
Je vous note mes coordonnées si vous voulez m'écrire :
Toutaubord
Quelque part, vers la-bas, plutôt sur le sud, celui avec le livre.
un homme qui semble heureux.
jeudi 1 août 2013
Intrusion
Oh mon amour
Oh mon amour touche de moi
Touche de moi le fond.
Oh mon amour
Oh mon amour va dans le puits
Va dans le puits et puis...
Crève d'ennuis, de faim, d'envies
Oh souffre souffre essouffle toi à soupirer
Comme il fait noir dans mon esprit, hein ?!
Mais c'est un fait acquis... j 'aurai pu avoir de l'esprit.
Oh mon amour
Oh mon amour peine pour moi
Peine pour moi ma vie et puis...
Dessine ou écrit là, expose
Fais quelques pas pour moi, de plus
Obstine toi arrache, tu as des ongles griffe!
Et puis... merci de ta visite
Oh mon amour touche de moi
Touche de moi le fond.
Oh mon amour
Oh mon amour va dans le puits
Va dans le puits et puis...
Crève d'ennuis, de faim, d'envies
Oh souffre souffre essouffle toi à soupirer
Comme il fait noir dans mon esprit, hein ?!
Mais c'est un fait acquis... j 'aurai pu avoir de l'esprit.
Oh mon amour
Oh mon amour peine pour moi
Peine pour moi ma vie et puis...
Dessine ou écrit là, expose
Fais quelques pas pour moi, de plus
Obstine toi arrache, tu as des ongles griffe!
Et puis... merci de ta visite
samedi 13 juillet 2013
Une seule fois
Un seul être et c'est le manque, un seul chemin l'errance. Je couperai à travers champs,bien moins civilisé un peu plus périlleux mais d'autres découvertes, un peu plus d'air, de l'air.
Tiens c'est le vent du sud !! De l'eau bientôt peut être !?
Une seule goutte et c'est la fin du doute, juste un chouia une pétoule,mouillé le bout du doigt la langue, prémices d'un déluge.
Un seul orage et tout s'écoule, rimmel, chagrin, poussière.
Une seule vie, une seule seconde toujours unique, celle d'après, celle d'avant, seul pour la vivre.
Tiens c'est le vent du sud !! De l'eau bientôt peut être !?
Une seule goutte et c'est la fin du doute, juste un chouia une pétoule,mouillé le bout du doigt la langue, prémices d'un déluge.
Un seul orage et tout s'écoule, rimmel, chagrin, poussière.
Une seule vie, une seule seconde toujours unique, celle d'après, celle d'avant, seul pour la vivre.
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