J'y ai cru, je t'ai toute aimée crue
j'ouvre la porte et c'est un courant d'air
si difficile à suivre un courant d'air
je l'ai vu puis je l'ai perdu.
J'y étais je n'y étais plus
le temps plus vif de jour en jour n'autorise plus les étapes
difficile de se poser es tu déçue ?
Une galette et c'est byzance
scions sillons si on traçait tout ça ?
ta vie belle sauvage
écrite
A lire, aprés peut être et puis je vais faire la tête
je déteste les gens que j'aime
je déteste l'encombrement, les meubles
la poussière issue de mes pas...
j'ouvre la porte et c'est un courant d'air et tiens!...
je pense à toi je vais de ce pas mettre un disque
le tiens, tiens donc!... vilaine.
lundi 25 février 2013
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très bô
RépondreSupprimerMais qui est cet anonyme ? juste un prénom, des initiales, une infime petite trace .
RépondreSupprimerMerci
mais ton blog est tout plein rempli de ces traces, j'en suis moi même à mon 185eme commentaire.. Bises
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