Ou ont bien pu glisser les mots ?
et de la main cessé le trait.
Manque de satin de coton
maladie portée au cerveau
car les yeux clos aussi
trop de lumière trop attiré.
Oh mon dieu être un fruit
par ses soins recueilli
tout au creux déposé
que je soit cette mûre
cette simple cerise
prêt à croquer craquant
qu'elle m'entende enfin
Dans un jardin temps suspendu
A tirer son regard attiré par pitié
sur un buisson la baie ouverte
toutes épines émoussées
à tomber dans le bol
suicide au sucre
jusqu'a sa bouche
mon jus pris en dessert.
et de la main cessé le trait.
Manque de satin de coton
maladie portée au cerveau
car les yeux clos aussi
trop de lumière trop attiré.
Oh mon dieu être un fruit
par ses soins recueilli
tout au creux déposé
que je soit cette mûre
cette simple cerise
prêt à croquer craquant
qu'elle m'entende enfin
Dans un jardin temps suspendu
A tirer son regard attiré par pitié
sur un buisson la baie ouverte
toutes épines émoussées
à tomber dans le bol
suicide au sucre
jusqu'a sa bouche
mon jus pris en dessert.
Un délice....
RépondreSupprimerxXx
Merci la silencieuse, ma délicieuse .
RépondreSupprimerThierry je suis passée lire en ZIGZAG,ton texte est somptueux mais pourquoi le mettre à l'écart ainsi. J'adore. Bises
RépondreSupprimerBonjour Annelise, c'est un texte un peu particulier...Bises
RépondreSupprimerJe suis aussi allé voir et bravo , c'est un retour gagnant, les mots sont ils revenus ? Alors à bientôt
RépondreSupprimerêtre le fruit mûr, être le désir au creux de la main, de la bouche... alors, nos mots fondent dans le plaisir, heureuse de te relire ;)))
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