jeudi 14 janvier 2010

Amour


Cheveux touchés de la main effleurés
sensations ville offerte j'en pleurerai
la peau ne se refuse à rien
s'il suffit de tout perdre pour être bien
oublions tout sauf ce qui nous détruit.
Si la vie se la joue coupe de fruits
je la croque et j'en craque, en pressure le jus.
S'il vous plait pas de jugement
sincèrement offert, ému
je porte en moi un gisement
j'aime et je suis aimé
un gisement

9 commentaires:

  1. Un concentré tu es, indispersable , le dernier encore mieux que les précédents comment est ce possible . Bises S

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  2. S rien n'est possible tout est à provoquer, à prendre et à partager. Bises

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  3. Abondance en ce moment et c'est tant mieux à l'heure ou tant décident de suspendre leur blog, c'est un beau gisement.

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  4. C'est beau, simple, concis. Bravo.

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  5. Qu'il est doux d'aimer et d'être aimée dans une vibrante sérénité...

    Merci pour ton passage,Toutaubord !
    Bien qu'amphigourique, ton commentaire n'en sera pas moins apprécié :-)

    Bises

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  6. Simplement vivre
    maintenant...

    merci pour tes mots

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  7. Mais les mots ne soignent pas tout ! Faut il laisser libre champ à son plaisir de ne rien calculer ? Afficher l'avertissement ? "attention à ces mots, ils sont libres et ne projettent qu'un imaginaire"

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  8. Passer les rivières20 janvier 2010 à 12:59

    Les mots ne soignent pas tout mais sont de toutes façons une clé magique

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  9. Passer les rivières20 janvier 2010 à 13:06

    ...et l'imaginaire est plus malin qu'on ne le croit pour repérer nos failles...bien réelles!

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