jeudi 16 juillet 2009

Famine ... et... Septembre


Léger léger tout n'est que sable et lin
baisers lancés se jettent sur le dos
baisers posés continuent d'arpenter la peau
envies et rêves se bousculent sans fin
tout se malaxe et accentu l'écho
mélanges et assemblages ont propagé les maux
caresses encore disponibles en retenue
main prête à patiner le derme
frémit dés que le corps se met à nu
mirage d'un esprit qui ne sait accepter le terme
la fin
la faim sans fin
j'ai toujours faim
c'est fou d'avoir tant faim!
je vais laisser trainer la main...
.
.
.
.
Vraiment aujourd'hui tout va plutôt mieux
mon dieu quelle chance j'ai d'être vivant
pouvoir vous écrire parler de bonheur
les radios sont bonnes et les examens
sains.
Le coeur se remet des claques et des heurts
et s'il ne bat plus il supporte tout.
Vraiment aujourd'hui tout est trop parfait
vivement septembre et ses jours plus courts
pleurer dans le noir nous laisse du temps
et il en faudra pour juger du poids
Mon dieu quelle chance
Vivant
Se laisser porter
Attendre Septembre

10 commentaires:

  1. leger comme des mots qui seraient chuchotés, qui seraient dits avec des larmes,une bise à celui ne lache pas la main qu'il aime, un fou rare. A plus thierry

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  2. Merci...
    Je vous découvre un plaisir rare.

    Essensuellement votre.

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  3. Toujours cette maitrise des mots que je ne peux maquer d'admirer :o)
    Moins de temps, moins de mots en ce moment mais j'y reviendrai.
    A bientôt

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  4. Tu as de la chance d'être vivant et que tout soit en ordre avec tes examens et nous on a de la chance de pouvoir te lire....et d'être vivants aussi:)
    (et d'en avoir conscience)
    Bises

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  5. SI LA VIE TE SOURIT

    Un jour sourit la vie un jour elle sent la tombe
    On ne peut vivre heureux seul dans sa catacombe

    Quand parfois tu t'inquiètes pleurant sur tes décombres
    Et que tu baisses la tête marchant sans but à l'ombre

    Sache donc que nos cimetières sont peuplés en grand nombre
    D'êtres indispensables perdus dans la pénombre

    Sur nos places leurs statues où se posent les colombes
    Comme le nom de nos rues rappellent leur hécatombe

    Car c'est vers les vivants avant que tu ne tombes
    Que tu dois te tourner pour te sortir de l'ombre

    Un jour sourit la vie un jour elle sent la tombe
    C'est le sourire des gens qui empêche que l'on sombre

    Si la vie te sourit c'est à toi qu'il incombe
    De relever celui que les soucis encombrent

    Un jour sourit la vie un jour elle sent la tombe
    C'est le sourire des gens qui empêche que l'on sombre

    DI

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  6. Magnifique photo... l'amour dans l'irréel... s'aimer dans l'espace comme en apesanteur !

    Bises

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  7. Si la vie est belle c'est qu'on fait des choix

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  8. J'adore thierry (tiens j'ai dit thierry), vivement septembre et plein d'autres mots.

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  9. M'a piqué les mots annelise, vais pas en cherché d'autres, rajouterai juste une bise. S

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  10. Vivement septembre pour plein d'autres mots, en attendant des bises à toutes et à + sur vos blogs

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