Un seul être et c'est le manque, un seul chemin l'errance. Je couperai à travers champs,bien moins civilisé un peu plus périlleux mais d'autres découvertes, un peu plus d'air, de l'air.
Tiens c'est le vent du sud !! De l'eau bientôt peut être !?
Une seule goutte et c'est la fin du doute, juste un chouia une pétoule,mouillé le bout du doigt la langue, prémices d'un déluge.
Un seul orage et tout s'écoule, rimmel, chagrin, poussière.
Une seule vie, une seule seconde toujours unique, celle d'après, celle d'avant, seul pour la vivre.
samedi 13 juillet 2013
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Couper à travers champs ! une seconde à rêver l'après... pas seul(e) puisque vous donnez à lire et lever le regard sur le chemin probable de l'instant suivant.
RépondreSupprimerMerci encore d'avoir pris le temps.
Elouise
Des mots à la fois sombres et lumineux , comme cette belle photo.
RépondreSupprimerUne vue des contreforts du massif du Mont Lozère un après-midi d'orage.
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