Marcher tout droit ne se peut pas
on s'arrête pour boire
les animaux ont besoin d'eau
ainsi se retrouve t'on boeufs
au bord des flaques.
Rester debout ne se peut pas
on s'allonge par terre
on se courbe on mendie
ainsi vivent les chiens
par le collier liés.
Brûler sa vie ne se peut pas
les courageux n'existent plus
on ne s'échappe pas du train
les animaux s'y trouvent au chaud
guettant la fin.
Aimer toujours ne se peut pas
le sentiment est dépassé
on ne laisse personne éclore
en animal on est bien mal
on est si mal qu'on se croit homme
on s'arrête pour boire
les animaux ont besoin d'eau
ainsi se retrouve t'on boeufs
au bord des flaques.
Rester debout ne se peut pas
on s'allonge par terre
on se courbe on mendie
ainsi vivent les chiens
par le collier liés.
Brûler sa vie ne se peut pas
les courageux n'existent plus
on ne s'échappe pas du train
les animaux s'y trouvent au chaud
guettant la fin.
Aimer toujours ne se peut pas
le sentiment est dépassé
on ne laisse personne éclore
en animal on est bien mal
on est si mal qu'on se croit homme
Affolant. Bises d'un chat Botté
RépondreSupprimerEt toutaubord je reste bouche bée . J'adore
RépondreSupprimerSans mots je suis.......
RépondreSupprimer-xxx-
être affolé par moi m'inquiète car là n'est pas mon objectif. Merci
RépondreSupprimerAnnelise fidèle et Belle âme des bises
FRIPON
RépondreSupprimerJuste réveillé je vois
Le chat de Claire qui choit
Il vient me demander
D'ouvrir la porte d'entrée
Pendant la nuit le froid
A blanchi tous les bois
Les pare-brises sont givrés
La piscine est gelée
Fripon tout hérissé
Ose une sortie tester
Mais la bise cette fois
L'oblige à un autre choix
Pour mieux se réchauffer
Quand je prends mon café
Dans la cuisine tout coit
Près de moi il s'assoit
Aussitôt il s'octroie
Ma chaise de plein droit
Dès que j'ose me lever
Chercher le sucrier
Me voilà condamné
De petit-déjeuner
Fripon tout contre moi
Ses ronrons de surcroît
DI
Chat ch'est beau comme histoire de chat. Miaou. A bientôt
RépondreSupprimerDroit dans la cible, on en reste profondément touchée et sans souffle à ajouter...
RépondreSupprimerCommenter ne se peut pas
Les mots sont restés accrochés
A une branche surélevée
Et je ne sais pas voler...
bises
Tu sais minauder comme un chat , frôlant à contre bas les désirs enfouis , tes mots enflamment , "s' à chat gis " ils plastronnent en contre jour laissant des cris sanguins ... sans ... gains ... Mais toujours riches pour rebondir sur ses pattes comme une belle signature ... ^^;o)
RépondreSupprimerDouce soirée ...
A croire que vous lisez dans mes tourments car tout est là. Merci
RépondreSupprimerJulie
très fort, incisif! ...j'aime
RépondreSupprimerMerci juillev, je t'aime aussi. Bises
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