Elle à laché ses mots, posés partout
jetés du bout des lèvres à tapisser les murs
mélangé cris d'amour éclats de rire
avec la main tout étalé
ne nettoierai plus en l'espèce
et garderai la pièce
volets fermés et sur la porte le panneau
"l'endroit ne se visite plus... trop personnel"
elle à surement semé sur le chemin des feuilles du carnet, tous ses brouillons... prenez en soin vous qui les trouverez.
C tout et C fort
jetés du bout des lèvres à tapisser les murs
mélangé cris d'amour éclats de rire
avec la main tout étalé
ne nettoierai plus en l'espèce
et garderai la pièce
volets fermés et sur la porte le panneau
"l'endroit ne se visite plus... trop personnel"
elle à surement semé sur le chemin des feuilles du carnet, tous ses brouillons... prenez en soin vous qui les trouverez.
C tout et C fort
C'est comme ça que sont nés les musées, la couleur des toiles a remplacé les mots sur les murs pour faire à nouveau rêver...
RépondreSupprimerchouette idée de juillev, je marche. Anne
RépondreSupprimerok moi aussi je viens visiter ce musée là
RépondreSupprimerMoi aussi j'adhère à la thèse, merci juillev je garderai aussi tes mots .bises
RépondreSupprimertous ces gens malades de ne pas parler. Le mal de motre siècle, celui de la communication ??
RépondreSupprimerJ'adore le bordel de l'amour, la pagaille, les tâches, le désordre.
RépondreSupprimerTon texte est magnifique.
Promis, si je trouve ses brouillons ,j'en prendrai soin.
Belle soirée.
Merci Lidia, la soirée est splendide. Bises
RépondreSupprimerTon domicile comme un asile
RépondreSupprimerQuand deux âmes un peu sauvages
décident de s'épancher
l'une parle, l'autre se tait
et demain s'inversera.
Parenthèse enchantée
soirée très privée
pas question de l'exposer
mais tenir tout serré
comme dans un cabinet de curiosité.
Là pensées biscornues
sentiments malvenus
amours incongrus
inventaire de sens dépourvu.
Ta caverne comme une cachette
c TouT et c un Trésor
Ma caverne est mon refuge, merci d'en apprécier la chaleur,il suffit de pousser la porte. Bises
RépondreSupprimerUne caverne, un refuge, c'est un peu ça ce blog, on viens s'y dépayser et changer d'air en toute tranquilité. Amicalement
RépondreSupprimer15 décembre 15h15 et des poussières
RépondreSupprimerun lundi après midi dans ta tanière
en mains frolées tenues serrées
en peau satin lèvres pressées
24 décembre, 00h00 précisément
toi le très haut, je te prie intensemment
efface sa colère, rends moi un peu de sa douceur
des mots et des gestes pour conjurer la peur
la peur et la douleur d'avoir perdu la clé,
la clé de notre secret.
Vu et gravé en moi. Bises
RépondreSupprimer26 décembre priére exausée
RépondreSupprimerdouleur effacée
doigts mêlés de nouveau
merci ô très haut !!
15 décembre un an plus tard
RépondreSupprimerprières exaucées au delà de l'imaginable
beaucoup de mots, des larmes aussi
des caresses à n'en plus finir, des baisers, ahh des baisers et les doigts souvent noués, je ne formule qu'un voeu celui de rajouter un commentaire encore plus doux, encore plus chaud dans un an de ça!