Comme dans un film à la Tati
J'ai surement l'air d'un gigolo
tout bronzé et tout beau
dans ma petite auto.
Pris le fil ce matin
pas vraiment dans le bain
pas trés, pas trés malin
d'avoir pas su aller plus loin (ou "rester au loin").
Du café dans les veines
pour noyer ma déveine
tic tac, tic tac je tourne à droite
sur France Inter aussi ça sent le réchauffé en boite.
Semaine d'affichage (rappelez vous mon expo démarre ce week end)
pour dire" en fait je suis pas sage"
mais oui mais oui je vais changer de page
je vais enfin montrer mon vrai visage.
Alors n'oublions pas ces paysages,
ce qui nous manque,
tout ce qui fait pleurer
parce que la vraie vie
c'est surement pas rasé de frais,
poli, gentil bien affaissé collé à la moquette
en rangs serrés, enfilés en brochettes
en attendant de revenir au temps
des seigneurs et des cerfs
de la gabelle et du
"disposez donc de moi, je ne suis rien, et je vous appartiens"
Eh là, eh là méfiez vous, vous avez l'air d'y croire !
... à la fatalité
J'ai reconnu la photo
RépondreSupprimerEncore une île, mais plus lointaine
L'esclavage et la commémoration d'un naufrage, l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus noir!
La Martinique, l'Anse Cafard, un nom fait pour toi...
C
C'est vrai et je savais que tu me renseignerai.
RépondreSupprimerA+ C
crois tu vraiement que l'esclavage noue guette ? T'as peut être raison. Salut
RépondreSupprimerJe reviens et je retrouve C, la fidèle (et surement toujours aussi belle).J'avais du retard dans ma lecture et je me suis mis à jour.Un régal. A bientôt.
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